Terra incognita [Mission d'exploration]

Mission d'exploration: Terra incognita

Voilà plusieurs années que la guerre Humano-Covenante est terminée, et meme si il reste encore de nombreux confilts et des tensions entre les différentes factions, le temps est quand meme à la reconstruction et à l'exploration également.
En effet le CNSU à pris conscience de l'importance de découvrir de nouvelles ressources ou de nouveaux éléments sur les anciens lieux d'habitations des anciennes races et nottament des forerunners, ces artefacts pourraient etre d'une importance capitale pour la humaine, de ce fait de nombreuses missions d'explorations sont organisés à travers toute la galaxie.

Votre chef d'intructions:
"Un message nous est parvenu d'une petite base du CNSU Tribute nous indiquant que des ruines forerunners avaient été découvertes non loin de là. Cela n'avait rien d'inhabituel mais il semblerait que cette fois ces ruines recèlent quelque chose d'intéressant.Mais hélas le message n'était pas clair à ce propos, et ils demandaient de l'aide pour mieux explorer ces ruines, car cette petite base reculée n'avait que peu de moyen et trop peu d'hommes pour partir en exploration.
C'est pourquoi je le demande à vous jeunes recrues, de participer à cette mission afin d'en savoir plus sur ces ruines et ce qu'elles cachent, vous assisterez et protégerez les quelques scientifiques qui vous accompagneront.
Voilà un travail pour une recrue, qu'en dites-vous?"

La situation:

-La planète à explorer:

• Tribute, Système Epsilon Eridani.
  Atmosphère respirable.
  Température froide (donc prévoir équipement en conséquence).
  Très peu d'habitant à la suite de l'évacuation qui eut lieu après la bataille de Reach, il reste uniquement quelques bases qui servent pour la plupart de laboratoire.

-La base où vous attérirez:

• Il y a que quelques scientifiques et leurs familles qui occupent la base.
  C'est une base transformé en laboratoire, elle est petite et pas très accessible.

-L'équipe que vous accompagnerez:

• Deux deux autres soldats de faible grades (des marines) et deux scientifiques spécialisés dans les technologies forerunners.

-Autres informations:

• Vous partirez d'un des astroport de la lune, vous serez à bord de la corvette "Coral Sea".
  Vous serez transporté de la corvette à la base par pélican.
  Des mangoustes des neiges seront disponible à la base pour effectuer le trajet jusqu'aux ruines.

Concernant l'histoire à écrire:
Vous serez surement plusieurs à participer donc vous écrirez votre récit petit à petit en fonction de l'action des autres participants.
Vous commencerez durant le trajet du pélican à la base scientifique.
Temps de la mission: inconnue
Points d'expérience à gagner: 250
Caractéristiques à débloquer: suivant l'action et le déroulement de la mission.

Impératif: avoir fait la mission d'entrainement de base.

Un lien vous permettant de dire si vous participez à la mission, si vous avez des questions, et pour permettre aux participants de se mettre d'accord entre eux avant le début de la mission et pendant la mission, et dire votre packtage pour cette mission en sachant que vous devrez prendre un packtage "léger": http://www.lunivers-halo.com/t611-terra-incognita-mission-d-entrainement#4078

En rappelant que uniquement après ce message seront posté les rp des partcipants.

Les participants au rp:
-CourageC775

-spartanFR


-

Salut à vous, amateur de rp, bon bin sa a pris son temps, j'ai fini de l'écrire et voilà ce que sa donne:

Courage, après mure reflexion, c'est mieux que tu découvre le rp comme les autres pour t'adapter, parce que si tu le modifie pour qu'il est adapté à ta suite c'est dommage :/

Voilà je le commence:

"
Dans la nuit étoilée, une tempête de neige soufflait. Par dessus les montagnes enneigés trônait une plaine relativement plate, et au-dessus on pouvait voir s'élevait de petite structures. Les moteurs du pélican vrombirent dans la tempête de neige, survolant les montagnes enneigés, traversant la tempête de neige. Le pilote du pélican annonça aux passagers, plusieurs marines du CSNU agrémenter d'une touche de TCAO, que leurs promenades seraient écourtaient. En d'autre terme, à cause des conditions météo le pélican ne pourrait pas aller plus loin et qu'il devrait les lâcher aux prochains terrain plats, pour qu'ils puissent continués en véhicule.

L'équipe anormalement constitué pour cette mission aller devoir se débrouiller avec les moyens du bord, soit un warthog suspendu à l'extérieur du pélican et deux mangoustes garés étroitement à l'arrière du pélican avec les marines et TCAO. Ces véhicules-ci sont prévus pour des conditions météorologiques à basse température, avec en couleur, le camouflage enneigé basique du CSNU.

John, monte à l'avant, côté conducteur d'une mangouste, il a un goût très prononcé pour ce véhicule basique. Il demanda à un marine de l'accompagner, le marine s'installa à l'arrière de la mangouste.
Deux autres marines s'emparèrent de l'autre mangouste, la soute arrière du pélican s'ouvrit, et le trio de TCAO pris le Warthog.
Le pilote commença un compte à rebours à partir de 5. Puis il lâcha le warthog qui disparut dans le froid de la tempête. Le pilote indiqua aux deux mangouste que la voie était libre et qu'il pouvait sauté. Après une courte hésitation, John alluma le moteur et fonça droit dans le vide. La chute fut assez courte vu que le pilote avait prévu de voler à basse altitude pour éviter des blessures inutiles. Les trois véhicules heurtèrent le sol les uns après les autres, à grande vitesse mais leur chute fût ralentie par le banc de neige recouvrant le sol.

Une communication entrante résonnent dans le casque de l'escouade.

" Ici Charlie 9, escouade Terra, la base se trouve à 25Km, nord/ nord-Ouest de votre position. Quand il vous restera 5Km à parcourir vous devriez avoir un visuel avec la base."
"Ok, Charlie-9, bien reçu" Répondit Alexandar.

Les deux mangoustes et le warthog se replièrent à la même position.
Alexandar, le supérieur du Trio des TCAO, proposa une formation en triangle pour rejoindre la base, les deux mangoustes à l'avant et le warthog à l'arrière.

La formation avant-arrière seraient espacé de cent mètre, et les deux mangoustes devraient être espacés de 25 mètre, et il rajouta: "On ne sait pas à quoi s'attendre sur cette route, restons vigilant."
John approuva ainsi que tous les autres membres de l'escouade. Ils commencèrent à prendre la formation prévu et se mirent à rouler, les mangoustes arriver difficilement à atteindre les 70Km/h à cause des conditions météo. Ils devraient atteindre la base avant l'aube.

Quelques heures passèrent.

Le ciel sombre de la nuit s'éclaircit pour laisser place à quelque rayons de soleil.
Les mangouste arrivèrent en premier à la base, quelque minute plus tard le warthog remplis du Trio des TCAO.
"

Voilà je crois que c'est suffisant et que sa vous a plus, j'ai fait du mieux que j'ai pu, je n'ai pas eu trop d'imagination aujourd'hui sur ce début de rp.

Sur ce,

Le firmament étoilé brillait dans le ciel noir, et cette vision remplit brièvement Alexandar de nostalgie alors que le pélican les emportait vers leur prochaine mission. Ces quelques instants cessèrent dès que le pélican traversa les nuages de neiges qui charriaient leurs lourds flocons, forçant l’ODST à reculer légèrement dans l’habitacle du vaisseau après avoir vérifié les attaches du warthog et des deux mangoustes qu’ils transportaient.
Il s’assit sur l’un des sièges restant près de la sortie, ses deux camarades en face de lui. Ils avaient tous fermé leur visière, et il leur montra son pouce levé, d’abord vers le haut puis vers l’extérieur pour leur faire partager l’ironie et le danger potentiel de la situation. Les deux autres comprirent et firent un rond de leurs doigts, lui signifiant qu’ils avaient reçu le message tandis que la soute se refermait pour empêcher les flocons de tomber à l’intérieur.

Après une petite heure, Alexandar tourna légèrement la tête et vit les marines discuter normalement entre eux. Il soupira derrière son casque, jurant contre l’idée du commandement de faire une mission mixte avant d’écouter attentivement le com’ du pilote. La balade allait être écourtée… Quelle blague, elle allait enfin pouvoir commencer oui ! Alexandar fit rapidement signe à ses camarades pour qu’ils prennent place tout de suite dans le warthog, les marines s’étant précipités vers les mangoustes dès l’ordre était tombé.
Dmitri alla se placer au poste d’artilleur et arma la mitrailleuse au moment même où Yves, surnommé Staline par ses amis, prit la place de passager. Ils connaissaient bien Alexandar et savaient qu’il adorait piloter. Et comme le voyage n’était pas censé rencontrer de problèmes, pourquoi pas ? Il s’installa à la place de pilote, passa la main sur chacun des instruments avant d’allumer le moteur dans un grondement sonore, pourtant presque inaudible dans le bruit des réacteurs du pélican et du souffle du vent.

Le pilote décompta le moment de détacher le warthog, et après quelques secondes dans le vide et l’infinie blancheur de la tempête, le véhicule toucha le sol et bondit en avant guidé par les phares efficaces d’Alexandar qui suivait la trajectoire de leur vaisseau de largage, attendant les marines qui devaient les rejoindre, ce qu’ils firent rapidement. Alors que le pélican remontait vers le ciel, ils reçurent leur dernière communication de la part de leur guide :
" Ici Charlie 9, escouade Terra, la base se trouve à 25Km, nord/ nord-Ouest de votre position. Quand il vous restera 5Km à parcourir vous devriez avoir un visuel avec la base."

Alexandar grogna et fit signe aux deux TCAO d’être vigilant et d’enlever les sécurités de leur armement, alors qu’il répondait au pilote qu’ils avaient reçu la communication. Il rejoignit les marines et leur proposa une formation en triangle basique en leur conseillant d’être prudent, bien qu’il aurait préféré ce taire. Il avait tendance à sous-estimer les marines, même s’ils paraissaient conscients de leur mission.
Les mangoustes prirent la tête de la patrouille improvisée et disparurent au bout d’une heure de la vue des TCAO, qui toutes armes dehors et prêtes à faire feu, avançaient prudemment, avec quelques chevaux de réserves sous la pédale.
Aux premières lueurs du jour, ils rejoignirent enfin la base scientifique, où Alexandar nota immédiatement l’absence de garde malgré l’apparence habitée des lieux par les fumées qui sortaient des préfabriqués. Ils descendirent pesamment du véhicule, Dmitri restant prudemment à son poste, la tourelle surveillant l’endroit d’où ils venaient alors que Staline et Alexandar surveillaient respectivement les ouvertures des bâtiments et les marines apparemment détendus.

Il était environ 7h du matin lorsque Raphaël annonça l'arrivée des Marines à Yohann. Raphaël faisait partie de l'équipe ayant découvert les ruines non loin de là et Yohann dirigeait cette équipe et aussi le complexe. Ils allaient désormais être escorté par les Marines, ce qui plaisait à Raphaël car il était de nature peureuse.
"-Dépêche toi Yohann, les Marines sont là.
- Ouais j'arrive."
Quelques minutes plus tard, ils rencontrèrent les Marines.
"-Bienvenue à vous, Marines. Vous devez être fatigués, on va vous conduire dans vos quartiers avec une tasse de café pour vous réchauffer.
-Merci monsieur, répondit Alexandar."
-Suivez-moi s'il vous plait."
Les chambres des marines étaient situées un peu à l'écart des chambres des scientifiques, cela les mettait mal à l'aise. Ils doivent marcher quelques instants pour être au milieu de complexe, avec les familles. En cas d'attaques, ce serait embêtant.
Raphaël leur raconta comment ils avaient découvert les ruines. Une partie des roches soutenant la cavité s'étaient effondrées et les appareils ressentirent une légère activité sismiques. Les scientifiques se rendirent à l'épicentre et découvrirent un caverne dans laquelle commençaient les ruines. Ils avaient peu explorés les ruines, attendant du matériel plus sophistiqué. Maitenant, ils pourraient continuer les explorations avec en prime une escortes, ce qui rassurait grandement Raphaël. Les marines se reposèrent toute la matiné, prenant leur petit-déjeuner. C'était rare dans la vie d'un militaire d'avoir un peu de tranquilité pendant une mission. Ils passèrent tout l'après-midi à visiter la base et il furent accueillis chaleureusement par les familles des scientifiques.
Ils furent convoqués par Yohann vers 18h.
"-Pour votre intégration dans le camp, on va vous laisser une semaine de repos. Ca nous fera à nous aussi une semaine de repos."

Pour le RP :
Vous posterez ce que vous faites.
Vous pouvez explorer les alentours, faire une randonnée... à vous d'imaginer.

Le premier jour de cette semaine de repos, John, ne voulut faire aucun effort physique il resta la quasi-totalité de la journée dans sa chambre à nettoyer son équipement dans son intégralité, couteau, armes, tenue, etc...
Il ne sortit que pour le déjeuner, le souper.

Le deuxième jour, John continua son entrainement comme il faisait entre ses deux test pour rentrer à l'UNSC, pour occuper une bonne partie de sa journée.
Des centaines de pompes, 3,4 footing qui durèrent plus d'une heure...
Le midi il prit une longue pose pour déjeuner, il n'eut pas tous ce qu'ils voulaient comme nourriture mais il à quand même avalé 3 fois une rations qui rempliraient un homme de 85Kg

Le troisième jour il parti en randonnée, explorer les alentours proches pour prendre des repères, il planta des tubes de fusée éclairantes dans la neige qui sont activables à distance, comme il dit souvent:" Au cas où"

Le quatrième jour, John prit des vivres dans la réserve, des munitions, nettoya de nouveau ses armes et équipement, et mis à niveau la mangouste, pression des pneu, hydraulique, climatision, radar, phares, essence,... S'endormit tôt pour éviter la fatigue lors de l'escale le lendemain.

La cinquième journée, John prit le volant tôt pour ne pas perdre de temps dans son exploration des grandes zones alentours.
Son but principale était les ruines... mais au fil des heures il se rendit compte qu'il ne pourrait les trouvait qu'à l'aide des scientifiques de la base.
Après quelques minutes de réflexion, john se rendit compte qu'il était perdu... Il rebroussa chemin, mais au bout d'une heure il vit que cela n'avait rien changé, il misa sur la chance et activa la fusée éclairante qui se trouvait au nord de la base...
Rien ne se passa au bout de plusieurs minute... Il décida de lancer celle du Sud, car celle du nord ne pourrait être visible si il est au Sud. Mais ce serait une de ses dernières chances, si cela rate il continuerait à rebrousser son chemin... Deuxième essai, John vit une lueur faible mais il en vit une, il s'y fia et fonça, pleins gaz droit dans la direction. Au bout de 15minutes de routes il retrouva la base. Rassuré il remplit une carte en indiquant la route qu'il a prise.

La sixième journée, une grâce matinée pour John qui reprit de sa journée éprouvante de la veille. Il alla voir les scientifiques dans l'après-midi pour voir par où avait été les scientifiques pour voir si il était sur la bonne voie ou à côté de la plaque.
Les scientifiques avait pris le Nord pendant de nombreuses heures, en effet John roulait complètement à l'opposé.. Il éclata de rire seul, tous les scientifiques de la pièce se posèrent des questions. Après les avoir quittés John reprit son entraînement, pompes, course, etc...

Le septième jour, une autre journée dédiée au repos et à s'entretenir physiquement, avant la fouille des ruines, le lendemain.

-7 jours pour s’acclimater… Ils nous prennent pour qui ces scientifiques ? Railla Dmitri une fois dans la pièce commune aux trois soldats d’élites.
-Pour des marines, tu as bien vu comment ils nous ont parlés… répliqua doucement Staline, d’un ton dur qui laissait cependant entendre que le moment de se plaindre n’était pas venu.
- Au final ça ne change rien pour nous, conclut Alexandar. On est chargé de leur sécurité et on va l’assurer. On va assurer des tours de garde sur le camp. Un au repos, deux en patrouilles séparées ou vérification du matos et je vous passe les détails. Armes chargées et matériel complet. Près à recevoir toute personne n’aillant pas de raison de se trouver là… finit-il avec un sourire sinistre avant de placer une balle dans le canon de chacune de ses armes et de sortir à la découverte du camp, silencieux et discret.

Yves et Dmitri se regardèrent quelques instants avant que Yves ne sorte à son tour, indiquant à Dmitri la direction qu’il prenait, opposée à celle d’Alexandar. Dmitri haussa les épaules et soupira une fois la porte refermée avant de poser son casque près du pied de son lit et d’astiquer ses armes, gardant cependant l’une d’elles chargée à portée de main, n’aimant pas les imprévus.



Les journées s’écoulèrent ainsi au rythme des rondes, Alexandar invisible durant ces dernières, Yves discutant plus régulièrement avec les scientifiques et Dmitri passant son temps entre le laboratoire à détendre tout le monde avec ses blagues et son franc-parler, la cuisine et le garage, ou il nettoyait et vérifiait le warhog ainsi que les mangoustes.

Aucun contact ne se fit entre les TCAO et les Marines, ces derniers riant sous cape du professionnalisme des soldats d’élite tandis que ceux-ci s’estimaient généralement trop occupés pour discuter ou se détendre avec eux, pour des raisons personnelles qui leurs furent à chacun différentes et liées au caractère des personnages.



Les rares pauses étaient utilisées pour dormir ou se maintenir physiquement, éventuellement partager des informations, et le septième jour arriva enfin, le jour de sortir du camp. Les TCAO sortirent totalement équipés et tendus dès six heures du matin dans la cour, Dmitri amenant le warthog grondant phares allumés dans le silence blanc du matin enneigé où le brouillard se joint aux festivités.

Ils installèrent des projecteurs supplémentaires sur le véhicule, y placèrent tout leur armement de manière réfléchie et attendirent le reste des membres de « l’expédition »…

Situation:
ça y est il est temps de partir en expédition vers les ruines forerunners.
Les scientifiques vous accompagneront donc jusque là, votre but sera de les protéger.
Vous partieraient en mangoustes et avec le warthog.

Vous arriverez sur place en début de soirée, vous devrez raconter une partie du trajet jusqu'aux ruines et ensuite la situation sur place.
En sachant que vous devrez vous réfugier dans une des structures forerunner à cause d'une forte tempete de neige, ce qui n'empechera aps les scientifiques de commencer à observer ces structures à le recherche d'informations.

PS: c'est à spartanfr de prende le relais là
Et pour les prochaines missions ça se fera différement, et ça rendra les missions plus intéractive et plus intéressante pour vous, on vous expliquera ça au moment venu. =)

L'aube n'est pas encore levé sur la base scientifique cependant l'expédition scientifique avait déjà pris la route depuis peu de temps.
Chaque marines prit un scientifique à l'arrière de leur mangouste. Les TCAO ont essayé de faire passer un scientifique entre la tourelle arrière et le siège passager, ça n'a pas trop marché...

John a pris une scientifique, la seule du groupe de ceux qui ont découvert les ruines. Le trajet fût long que ce que l'escouade pensait. A midi ils firent un pique-nique dans la neige. Ils arrivèrent une heure après ce pique-nique. John se dévoua pour porter les affaires de la scientifique et profita de l'occasion pour demander son prénom. Mais au moment où elle allait le prononcer un grand bruit se fît entendre dans le sac que John portait pour la scientifique. Il le sortit et le tendit à la scientifique, elle le bidouilla pendant quelque secondes puis son visage se pétrifia quelques secondes et cria qu'il fallait se réfugier dans la grotte, les ruines peu-importe. Les TCAO étaient contre, les ruines ou peu-importe ce que ce lieu était, ça n'était pas sécurisé. John emmena tout le monde à l'intérieur des ruines. Au bout de quelque minute, l'entrée fut bouchée par la neige. Et la pièce se remplit d'une obscurité la plus totale, l'escouade scientifique allumèrent leurs lampes et contemplèrent l'architecture...






"Sur ce,"

« AVALANCHE ! »
Le cri retenti alors que les TCAO tournaient le dos aux ruines, peu confiant en l’apparence paisible de leur environnement. Ce cri leur donna raison. Alexandar, encore aux commandes du warthog, le fit bondir dans la direction opposée à la montagne, et du même coup à l’avalanche, tandis que Dmitri et Staline se jetaient dans les ornières et replis du terrain pour éviter d’être emportés par la chute de neige. Les marines et les scientifiques, en revanche, suivant une logique qui échappait clairement aux TCAO, allèrent se piéger dans les ruines à l’instant précédent leur ensevelissement.

Alexandar fit effectuer un demi-tour au frein à main au warthog passés les dix mètres lui permettant à priori d’être à l’abri, ce qui fut effectivement le cas, la neige se contentant de camoufler efficacement la présence des ruines aux yeux du monde. Dmitri et Staline sortirent de leur fossé tandis qu’Alexandar ramenait le véhicule d’intervention à leur niveau, devant la couche de neige.

-Bon, je ne vais pas être défaitiste mais maintenant il faut leur faire une sortie, soupira Dmitri en se relevant et en posant son fusil sur le siège passager du warthog.
-Non. Il faut qu’on se fasse une entrée, rectifia Staline dans un grognement en posant lui aussi son arme dans le warthog.
-Ou alors, on commence par les contacter pour avoir plus d’infos avant de leur demander, le cas échéant, de se mettre à l’abri dans les ruines le temps qu’on « enlève » la neige, coupa Alexandar en portant sa main gauche à l’interface de communication de son casque, la seconde toujours sur le volant du warthog dont le moteur allumé ronronnait, tandis que le pot d’échappement modifié par les TCAO ne laissait sortir qu’un mince filet de fumée qui s’évaporait dès qu’il était à l’air libre.


« Ici Black Wolf Leader, Delta 1 vous me recevez ? Delta 1 ? »
« … Ici Delta 1, je vous entends 3 sur 5 Black Wolf Leader. Votre position ? A vous. »
« Extérieure au ruines. L’avalanche s’est contentée de les camoufler et on a perdu les mangoustes sous la neige. Des dégâts de votre côté ? »
« Aucun, tout le monde est OK. Vous pouvez nous rejoindre ? »
« On va essayer. On va poser des charges au sommet de la colline histoire de faire tomber toute la neige qui reste et on va rentrer par le toit des ruines. »
« Reçu, on va se mettre à l’abri dans le corridor qui s’ouvre à nous et on monte un camp provisoire en vous attendant, Delta 1 terminé »


John mit le reste du groupe au courant et ils se dirigèrent vers le fameux couloir, John en tête et épaulé de deux camarades, arme à l’épaule et sécurité désactivée, leurs lampes torche de leurs halos lumineux le noir millénaire de ces ruines ancestrales. Les scientifiques les suivaient, légèrement tendus par la situation tenant leurs matériels et leurs valises de mains cependant fermes. Le dernier des marines fermait la marche, anxieux lui aussi, appliquant le même protocole de sécurité que ces frères d’armes.

Une dizaine de minutes plus tard, une brève explosion retentit, suivi d’un autre plus sourde et de débris qui tombaient. Les TCAO venaient, en un temps record, de détruire l’obstacle qui constituait la nature pour eux. Alexandar observa le trou béant qu’ils venaient de créer avec circonspection avec de rapprocher le warthog, utilisant le treuil comme corde de rappel pour accéder aux ruines. Staline et Dmitri remontaient la pente de la colline, des charges placées le long de sont flanc pour évacuer si nécessaire plus rapidement les ruines inexplorées. Et donc dangereuses.

Dmitri démonta rapidement la mitrailleuse du warthog et la fit descendre avec la corde de rappel du véhicule, et ils firent rapidement quelques aller-retour pour décharger tout leur matériel. Ils piégèrent ainsi le point de chute avec des explosifs de proximité, avant de s’équiper et de rejoindre les marines dans le souterrain.


Staline attrapa le fusil de sniper et enleva la sécurité de celui-ci avant de le placer sur son dos, plaçant le maximum de munitions dans tous les endroits possibles de son armure modifiée. Il vérifia ses deux couteaux d’avant-bras, plaça ses deux mitrailleuses chargées sur ses jambes et les chargeurs sur son torse. Il prit pour la forme un fusil de combat et deux chargeurs supplémentaires avant de se diriger silencieusement vers le groupe des marines et scientifiques qui les attendaient à une centaine de mètres de là.

Alexandar le rejoignit après avoir prit un fusil d’assaut et ses chargeurs, qu’il plaça sur les emplacements qu’il avait rajouté sur le torse de son armure. Il prit un fusil à pompe de grand modèle, qu’il plaça dans son dos avant de rajouter des munitions dans les cartouchières qu’il avait aux avant-bras. Il s’équipa pour finir de ses deux pistolets personnels, l’un accroché le long de sa nuque, le second sur sa jambe gauche. Il attrapa une sacoche pleine de chargeurs compatibles aux deux modèles et la fixa sur sa seconde jambe avant de rejoindre Staline.

Dmitri prit sur lui la mitrailleuse et le sac à dos de munitions, sur lequel il rajouta une lampe. Il plaça son lance-grenade chargé sur sa jambe gauche tandis que ces munitions étaient placées sur sa jambe droite. Il équipa son avant-bras gauche de munitions multi-projectiles de fusil à pompe, et l’arme réduite en travers de son ventre. Sur sa poitrine il plaça son pistolet semi-automatique, et son couteau de combat trouva sa place dans son étui, sur son bras droit avant de vérifier toutes les charges et de rejoindre le camp provisoire dressé par l’expédition, les armes n’aillant pas été choisies par les membres de l’escouade de TCAO cachées dans les recoins sombres de « l’entrée » des ruines.


Les marines se détendirent visiblement lorsque les trois membres des troupes d’élites les rejoignirent, et après une brève concertation, ils reprirent le chemin, les trois TCAO ouvrant la voie avec Dmitri au centre du triangle inversé, en retrait d’Alexandar et de Staline sur les côtés. Deux marines marchaient derrière ce triangle, et les scientifiques suivaient avec les deux derniers soldats pour fermer la marche. A intervalle régulier et à la demande des TCAO, un scientifique déposait une pastille luminescente ; prévue à cet effet ; sur le mur, afin d’assurer leur retour s’ils se perdaient.

Le groupe avançait à un rythme régulier dans les souterrains des ruines forreruners, les TCAO à l’avant du groupe, guidés par les indications consultatives des scientifiques tandis que les Marines fermaient la marche ou s’étaient mêlés au groupe d’ingénieurs, certains se permettant même le luxe de la discussion.

Un grognement caverneux coupa court les conversations et l’avancée du groupe, chaque soldat agrippant fermement son arme et en enlevant d’un geste sûr la sécurité, si ce n’était déjà fait, et de fouiller les ténèbres à l’aide de leurs lampes torches.
Après quelques secondes du ballet de lumière, la formation repris son avancée, plus lentement, plus silencieuse… plus attentive que jamais. Une odeur, d’abord diffuse mais de plus en plus forte se fit sentir… Une odeur de décomposition, de cadavres, et de mort.

Les soldats avançaient toujours, d’un pas ferme, attentifs aux moindres mouvements d’ombre. Cette odeur, ils la connaissaient tous très bien, sur les nombreux champs de batailles qu’avait créé l’Alliance Covenant en leur déclarant la guerre. Tandis que chacun attribuait à ces relents des souvenirs particuliers, le couloir dans lequel ils évoluaient s’élargit brusquement.
Alexandar leva son poing fermé pour demander au groupe de s’arrêter, et chercha les murs de la lampe torche fixée sur son fusil d’assaut, tandis que chacun tentait la même chose de son côté. Sans les voir. John alluma l’interface de communication de son casque et murmura :
« On est tombé dans une salle, et une grande… »

Le TCAO le plus proche de lui leva son pouce et signe d’assentiment et sortit son lance-grenade, qu’il chargea d’une fusée éclairante, avant de faire feu droit devant lui.
La fusée réalisa un arc de cercle parfait vers le plafond avant de heurter le haut d’un mur, de l’autre côté de la pièce, et de retomber juste devant celui-ci, éclairant un trou béant, et derrière lui, une étrange structure plongée dans la pénombre.

Un nouveau grognement résonna dans les ruines, et les ombres derrière l’ouverture bougèrent, massives, telles des grands singes. L’une d’elle traversa le trou dans le mur d’un bond, et éclairée par la fusée au sol, ils purent apercevoir en contre-jour une Brute, nue, sans armes. Celle-ci rugit en les voyant les chargea, rapidement suivi par les autres.
Dans leur charge furieuse vers le groupe d’exploration humain, l’une d’elle détruisit la fusée éclairante. Un instant désorientées, les bêtes folles cessèrent quelques instants leur charge, avant de la reprendre, indiquée par le bruit sourd de leurs pâtes sur le sol, tandis que les torches humaines tentaient de percer les ténèbres dans lesquelles se cachaient les Brutes.

(à toi SpartanFR )

Dans leur charge furieuse vers le groupe d’exploration humain, l’une d’elle détruisit la fusée éclairante. Un instant désorientées, les bêtes folles cessèrent quelques instants leur charge, avant de la reprendre, indiquée par le bruit sourd de leurs pâtes sur le sol, tandis que les torches humaines tentaient de percer les ténèbres dans lesquelles se cachaient les Brutes.

Les scientifiques essayaient d’éclairer au maximum la salle qui étaient tombés dans l’obscurité la plus complète tandis que les TCAO activèrent leurs vision nocturnes, mal gré cet avantage les brutes étaient rapides mais les TCAO arrivaient à les suivre de l’œil, attendant le moment opportun pour les blesser aux jambes puis les interroger par la suite. Les marines eux s’étaient mis en formation autour des scientifiques pour les protéger et lorsqu’une brute se faisait ressentir prés d’eux, un barrage de balle retentissait faisant tombé la brute. Après plusieurs minutes, 3brutes sont mort, 1est entre la vie et la mort mais les TCAO lui ont choisis la mort. Les deux dernières brutes étaient blessés aux jambes, impossibles pour elles de s’enfuir.

Mal gré l’interrogatoire des TCAO réputé insoutenable, tout ce que l’expédition à pu tirer des brutes n’est rien d’autres que des grognements. 2TCAO surveillaient constamment les brutes prisonnières, chaque marines accompagnaient un scientifique et exploraient cette grande salle qui apparemment n’en finissait pas. De ce qu’ils ont vu, il y a juste du vide, pas de structure particulière, aucun panneaux holographiques, juste des symboles sur les murs que les marines se moquaient et qui intriguaient tous les scientifiques.



Voilà, c'est maigre mais à part la bataille je ne savais pas si l'expédition devait trouver quelque chose ! Si ça tenais qu'à moi on repartirait bredouille
Bref, un narrateur pourrait-il faire intervenir quelque chose? Un Prométhéen en vie et qui nous lègue tous ses secrets? :p

Sur ce,

L’assaut des brutes n’avait abouti qu’à leur mort rapide. Pour la plupart. Les autres avaient étaient interrogées par Staline, mais il n’avait rien pu en tirer. Les TCAO les achevèrent donc d’une balle dans la tête, et réunirent les corps dans un coin. Ils étaient dans un cul de sac, et à part ces symboles étranges sur les murs, que les scientifiques photographiaient avec acharnement, il n’y avait rien d’intéressant.
Après avoir laissé les scientifiques assouvir leur curiosité pendant une petite demi-heure, les TCAO donnèrent le signal du départ, et ils reformèrent la même formation que précédemment, rendu plus prudent encore qu’avant à cause de leur rencontre avec ces brutes folles.

Ils revinrent finalement sans encombre à l’entrée du tunnel, où les marines montèrent à la corde suspendue du warthog pour vérifier l’environnement extérieur. Pendant ce temps, les TCAO réunissaient le matériel qu’ils avaient précédemment caché un peu partout dans la pièce sombre.
Les scientifiques remontèrent à la suite des Marines, mais n’était pas suffisamment musclés, ils se contentaient de s’agripper au treuil du warthog, que les soldats remontaient pour faire sortir le scientifique, et redescendre pour permettre aux autres de sortir.
Les TCAO firent monter tout leur matériel de la même manière puis montèrent à la corde à leur tour, tandis que le treuil remontait, pour être finalement rangé sur l’avant du warthog.

Un marines prit la tourelle, un autre le volant, et les scientifiques se précipitèrent pour obtenir une petite place sur la machine, leur évitant ainsi de marcher.
Les trois TCAO commencèrent à glisser dans la neige, ouvrant le chemin au warthog qui suivit tranquillement, suivi des marines restant.
Arrivés en terrain plat, le warthog les distança rapidement, partant en direction de la base et faisant des aller-retour pour permettre à tous de rentrer rapidement. Fidèles à leur réputation, les TCAO ne le prirent que lors de l’ultime retour à la base.

Les scientifiques étaient déjà dans leurs laboratoires, en train d’étudier les différents symboles. Les marines se reposaient tous pour la plupart, aillant déjà terminé de nettoyer leur armement et attendant leur dernier camarade, qui avait fait les navettes avec le warthog.
Les TCAO descendirent et leur firent un signe de tête, satisfait d’en avoir terminé avec cette mission somme toute bien ennuyante.

Le temps de prévenir le commandement que leur mission s’était achevée par un succès et la nuit était revenu sur le camp. Et visuellement, le calme aussi. Jusqu’à ce qu’un pélican provenant de la frégate en orbite au-dessus de la planète ne se pose à quelques mètres de la base, faisant voler la neige autour de lui. Les TCAO et les marines sortirent de leur baraquements, leurs packtage sur le dos, et embarquèrent dans leur transport, tandis que le pilote vérifiait que le warthog était bien fixé à la carlingue du pélican.

Ils repartirent quelques minutes plus tard, et ne furent bientôt plus qu’une petite étoile parmi tant d’autres dans le ciel enneigé de la planète.